L’histoire de mon soumis devenu O au masculin

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il y a 6 ans

Je l’avais repéré dans un bar. Il me matait de biais alors que je buvais un verre avec des copines. Au moment de partir, je me suis approchée et je lui ai demandé son téléphone. Je lui ai dit : « À bientôt…« , puis je suis sortie. Je l’ai appelé, et O (ça lui va comme un gant) m’a invitée trois soirs plus tard pour un long week-end. Il est venu me chercher, un bouquet de roses était posé sur le siège passager (je n’aime pas les fleurs coupées, mais l’attention était belle, et les tiges ont des épines…)

Nous sommes arrivés. Après avoir porté mon lourd sac de voyage, il a ranimé le feu (nous étions en octobre), et a mis les roses dans un vase. Je me suis installée dans le fauteuil, près de la cheminée. Il était abasourdi par ma robe noire très courte qui me remontait en haut des cuisses, lui exposant la lisière des bas et les attaches du porte-jarretelles. Les jambes croisées, je balançais lentement du bout d’un pied un escarpin noir au talon aiguille très fin. Il s’est repris, m’a proposé une flûte de champagne.

Alors qu’il me tendait le verre, je lui ai fait savoir que le seul champagne autorisé pour lui serait celui de mes entrailles… Interloqué, il ne semblait pas comprendre. D’un regard, je lui ai fait entendre que sa place était à mes pieds. Il s’est jeté à terre et a ceint mes mollets de ses bras, abaissé la tête et baisé mes chaussures. J’aime sentir l’homme surexcité et le rendre inférieur. « Déshabille-toi !« , lui ai-je dit doucement, mais fermement. Aussitôt, il s’est mis nu comme un ver. Je lui ai attrapé la queue sans ménagement. Je le sentais durcir sous mes gants de cuir. Il s’est redressé. Je lui ai ordonné d’aller couper des verges de noisetier, en lui précisant que j’allais lui échauffer les sens. Et, le claquant sur les fesses, j’ai lancé : « Fais vite ! »

Il est revenu rapidement. J’étais en train de sortir différents « outils » de mon sac : chaînettes, pinces à sein, bracelets de cuir, cravache et godemichets. J’ai vite vu l’effet que ça produisait : moi en petite robe de soie noire, échancrée devant et derrière (jusqu’à la raie des fesses), laissant pointer mes tétons arrogants (je ne porte pas de soutien-gorge), étalant une panoplie d’objets bizarres, et lui, nu, les mains pleines de rameaux de noisetier. Il a baissé les yeux. Il bandait, et son gland commençait à luire, produisant ce lubrifiant qui s’écoule en mince filet. Il m’a remis les tiges de bois, je les ai posés à portée de sa main, je me suis relevée, je lui ai attrapé les couilles et les lui ai étirées pour les cercler par une chaînette, que j’ai fermée avec un petit cadenas dont j’ai jeté la clé au feu. J’y ai fixé une laisse, l’ayant comme cela à ma portée. J’aime ça, tenir un mec par ce dont il est le plus fier…

Je me suis laissée retomber dans le fauteuil, tirant sur la laisse. J’ai vu ses testicules s’étirer avant qu’il ne s’écroule à mes pieds, terrorisé et geignant. J’ai eu encore une décharge de jouissance en voyant son expression ahurie, apeurée. D’un coup de cravache, je l’ai fait se relever. J’ai attiré son sexe tendu vers mon visage. De deux doigts, j’ai étiré méchamment le frein jusqu’à ce qu’il blanchisse. J’ai giflé trois fois son gland et je l’ai embouché. J’ai formé un tunnel avec ma bouche carminée. Je lui ai planté deux doigts dans l’anus sans préparation. Il criait. Je lui ai asséné un : « Tais-toi, je ne veux pas t’entendre, juste goûter ta semence. » Il s’activait dans ce gouffre, et je sentais bien qu’il évitait de me heurter avec le cadenas. Je donnais un rythme à son bassin à l’aide des doigts fichés dans son cul. De l’autre main, j’étirais la verge et massais les couilles. Je lui mordais le gland, laissant les traces de mes incisives sur sa colonne de chair meurtrie. Il a joui très vite. J’ai fini de le traire avec la main pour récupérer les dernières gouttes.

Il était pantelant après cette entrée en matière assez rapide. Je l’ai fait se mettre au sol, à quatre pattes, la tête baissée, le cul remonté vers moi. Je me suis saisie d’un godemichet assez gros, je lui ai craché sur l’anus et je le lui ai enfoncé fermement. Ses sphincters ont laissé passer l’ersatz de phallus tant j’y ai mis de f o r c e . Il a poussé un cri de surprise. Je jouais avec le godemichet en lui tirant les couilles, il feulait. Son sexe se redressait. Il ressentait du plaisir finalement, alors j’ai arrêté.

Je lui ai laissé le gode enfoncé. Je me suis saisie des verges de noisetier et j’ai chaussé mes talons aiguille blancs pendant qu’il geignait toujours. Et je l’ai fouetté. Ses cris m’indisposaient. J’ai ôté ma culotte, véritable serpillière, je lui ai tiré les cheveux, fait ouvrir la bouche, et j’y ai enfoncé le bout de tissu trempé de mes sucs, lui intimant l’ordre de se taire. Je lui ai dit : « Chaque fois que tu jouiras, tu seras puni. Je vais te rendre les fesses en feu. Que ta jouissance s’associe à la souffrance. Tu vas regretter de m’avoir reçue, mais je crois que tu aimes ça ! » Je redoublais les coups sur un globe, posant le talon fin de l’escarpin sur l’autre, jouant à érafler plus encore la peau déjà bien entamée. Des traces rouges sur le talon blanc… Je vibrais. Il les lécherait plus tard. J’aime que mes affaires soient propres. « Tu ne pourras plus t’asseoir mais tu n’en auras plus besoin. Je te veux à genoux, ou debout à me servir ! »

Il bavait, savourant mes sucs intimes, et bandait comme un âne. Il était temps de me faire lécher. Ses fesses étaient striées de rouge, le jeu des baguettes de bois et des talons aiguille… Je lui ai ordonné de se retourner, de fermer les yeux (il n’a pas encore eu le droit de voir ni de loger sa bite dans ma divine chatoune. J’attends qu’il ait les trois lettres de mon prénom tatouées des couilles au gland, deux cravaches pour le V. C’est pour bientôt…). Je lui ai retiré mon slip de la bouche, j’ai avancé légèrement le bassin. Le coussin, sous moi, était trempé, je le lui ai fait lécher après mon plaisir. Je lui ai posé les talons sur les épaules, les calant bien, cela m’ouvrait les cuisses. « Allez, vas-y lèche, comme un bon toutou. »

Ma chatte était dégoulinante. Je l’ai attrapé par les cheveux, l’obligeant à fourrer sa face entre mes lèvres béantes. Sa langue s’activait un peu trop vite à mon goût. Un coup de badine et un ordre : « Doucement, tends bien ta langue. » Il a obtempéré. « Là, c’est mieux. Prends mon bouton et joue avec ! » Il faut tout leur dire à ces mâles orgueilleux. J’ai dégagé un pied d’une épaule et je l’ai passé sur son sexe tendu, prêt à exploser. Je l’aurais bien resucé, mais j’avais décidé qu’il ne jouirait qu’une fois par jour, le matin, dans ma bouche. Je le sentais s’étouffer tant mes sécrétions étaient denses. Une vraie fontaine. Je voyais son visage inondé de mon plaisir, il luisait, des cheveux au menton. Je lui ai relevé la tête et je lui ai collé deux baffes. J’ai eu l’impression qu’il pleurait. J’aime ce regard suppliant et étonné chez l’homme que je transforme en objet de plaisir. Il geignait.

J’ai attrapé l’autre godemichet, celui aux deux phallus, un petit et un plus gros. Je lui ai fourré la petite partie dans la bouche et je l’ai fixée par les lanières. Il a compris ce qu’il lui restait à faire. Me travailler le vagin jusqu’à l’orgasme. Je l’aidais un peu en me triturant le clito. En très peu de temps, j’ai été transportée. Des spasmes inondaient mon bas-ventre et je coulais, je coulais. Je l’ai un peu branlé de la jambe, le bas s’est retrouvé sali par sa mouille. Je lui ai fait lécher ses sécrétions.

Je modèlerai sa cervelle comme un petit tas de glaise. Je le lui ai dit, il a hoché la tête. Le lien était établi entre nous. Il avait compris sa place : à mes pieds, à mon service. Il a admis qu’il ne me pénétrerait pas de sitôt. Je lui ai expliqué le tatouage le long de son sexe, fixant une fois pour toutes son appartenance. Il devra bander pour moi, par moi, sorte de reconnaissance de ma suprématie. Pauvre petite chose. Et me servir, continuellement, jusqu’à l’épuisement total… Alors, je retournerai cette loque du bout de l’escarpin et lui ferai rendre ses dernières giclées de foutre. Il apprendra qui commande. Il n’aurait pas dû croiser mon chemin…

Depuis ce mémorable week-end, nous vivons ensemble. Ou plutôt, il vit avec moi. Pour moi. À travers moi. Il m’adore. Peut-être vous raconterais-je la suite, nos promenades en forêt, la venue de mes amies…

P.S. : je profite de l’absence d’O pour ajouter que je l’aime, mon petit soumis. D’un amour qui peut sembler étrange mais bien réel. Je sais que lui me vénère. Je suis sa déesse

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